VOYANCE OLIVIER

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Le cÅ“ur de la visiteuse Le départ de l’hiver apporta à la bâtisse un tenture de maussaderie sereine. Chaque matin, la brume se levait à proximité du jardin, imprégnant l’air d’un parfum humide et léger. À l’intérieur, l’atmosphère n’avait jamais subsisté entre autres calme : pas un grincement intempestif, pas un murmure d’angoisse, uniquement le crépitement émollient de la cheminée dans le salon. Madeleine s’habituait à ce rythme lent, presque contemplatif, où chaque fait prenait tout son significations. Un après-midi, dans ce cas qu’elle s’occupait à bien trier de vieux papiers accumulés dans une monnaie voisine, elle entendit un distractions de pas appelées à la porte d’entrée. Son clairvoyance lui souffla qu’il s’agissait d’une essence à la recherche, car depuis larme, la maison attirait celles qui cherchaient un bienfait dans leur esclavage intérieur. Elle ouvrit la porte et découvrit une femme emmitouflée dans un manteau épais, les figures tirés par la trappe. 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